Somewhere et Love et autres drogues

J’aime beaucoup Sofia Coppola. C’est donc tout naturellement les yeux fermés que je suis allé voir Somewhere. Alors autant j’ai aimé Virgin Suicides pour la chaleur qui se dégage des images malgré la relative froideur du sujet (et puis un peu aussi pour Kirsten Dunst), autant j’ai aimé Lost In Translation pour le Japon et pour l’histoire de ce “couple” complètement paumé (et puis un peu aussi pour Scarlett Johansson), autant j’ai aimé Marie Antoinette pour la vision rock’n’roll de l’histoire (et puis un peu aussi pour Kirsten Dunst), autant là, je me suis ennuyé grave (malgré les blondes stripteaseuses du début), je n’ai pas réussi à trouver un intérêt particulier à ce film.

Alors si, la relation père/fille est sympa (j’ai bien aimé le passage en Italie quand ils se tirent à l’improviste), revoir Los Angeles et le Chateau Marmont à l’écran après les avoir vus en vrai c’est toujours agréable et ça fait remonter les souvenirs mais c’est tout. Je suis ressorti déçu par ce film, déçu par Sofia (non mais sérieux, filmer les 5 tours de Porsche au début du film c’était nécessaire ?). Bref, heureusement la petite note musicale du générique de fin m’a redonné le sourire 🙂

Somewhere

Love et autres drogues

Je ne sais pas si c’est de voir la magnifique Anne Hathaway dans le plus simple appareil pendant la moitié du film ou si c’est l’impression d’avoir assisté à une publicité géante pour Pfizer (je ne sais pas qui a géré le coup mais c’était un putain de placement produit pour Viagra et compagnie) ou si c’est encore parce que j’aime bien ces petites comédies sentimentales où les protagonistes finissent ensemble malgré les “je t’aime mais je te quitte parce que je ne te mérite pas et blablabla”, bref je ne sais pas laquelle des trois raisons l’a emporté (enfin j’ai ma petite idée quand même) mais j’ai adoré ce film, un bon petit film de dimanche fin d’aprem post balade ensoleillée dans Paris.

L’histoire est simple : Jamie est un commercial propre sur lui qui essaie de refourguer les médocs de chez Pfizer à tout ce que compte l’Ohio de cabinets médicaux. Rien ne lui résiste ou presque. Un jour il fait la connaissance de Maggie, atteinte de la maladie d’Alzheimer et qui comme lui refuse de s’engager dans une relation stable. Mais c’était sans compter sur l’amuuuuurr qui arrive par là et qui … pour connaître la suite et pour savoir comment le frangin geek de Jamie arrive à se palucher devant une vidéo des deux amoureux … allez voir le film 🙂

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