El Palenque, restaurant argentin

Depuis le temps que nous devions faire un vrai restaurant argentin à Paris. C’est en allant dîner au restaurant tibétain Lhassa que nous avons découvert El Palenque. Le restaurant était bondé ce soir là. Nous avons pu néanmoins prendre place pour déguster de la vraie viande.

Nous avons commencé ce dîner par des empanadas au fromage et au bœuf.

Puis nous avons commandé une churasco (noix d’entrecôte) pour deux. Accompagnée de salade et de purée de pommes de terre. La viande argentine est à tomber. Tendre. Un véritable délice. Sérieusement.

En dessert, elle a opté pour un gâteau au chocolat tandis que je m’empiffrais d’une banane con dulce de leche !

76,90€ à deux avec un verre compris.

El Palenque

5, Rue de la Montagne Sainte Geneviève

75005 Paris

01.43.54.08.99

Lhassa, restaurant tibétain

Nous étions partis pour nous faire un restaurant argentin ce soir là. Et puis, après deux essais infructueux, nous sommes tombés sur ce restaurant tibétain dans le 5ème arrondissement. Nous n’avons pas regrettés.

Accueillis par une photo du Daïla Lama et des paysages grandioses du Tibet, nous sommes vite installés à notre table. Le menu, en français et en tibétain est tellement varié qu’on a du mal à choisir.

Ce sera néanmoins un classique en entrée : Des momos (raviolis de boeuf) pour deux.

Le plat principal sera composé de raviolis dorés, d’agneau et de deux pains différents : pain frit et pain doré au four. Le tout accompagné de riz. Vraiment succulent.

En dessert, du riz mélangé à du raisin et du yaourt. Nous terminerons ce dîner par un merveilleux thé Chaï.

Que dire d’autre sinon que l’ambiance musicale était douce, le service très chaleureux et les plats délicieux, copieux mais surtout originaux.

64,50€ à deux, vin compris.

Lhassa

13, rue de la Montagne Sainte Geneviève

75005 Paris

Tél : 01 43 26 22 19

La Dolce Italia

Aujourd’hui je vais vous parler de la meilleure trattoria de Paris. Oui oui. De la meilleure trattoria telle que je la conçois, c’est à dire une cuisine et une ambiance comme à la maison, un peu à l’image de ce restaurant découvert en avril dernier à Arpino (Lazio), village de mon grand-père.

La Dolce Italia c’est son nom. Elle est située rue Oberkampf dans le 11ème arrondissement.

Une toute petite façade qui n’est pas facile à repérer. Un petit endroit qui pourrait presque être l’arrière cuisine de ma grand mère. Aux murs, des photos noir et blanc de célébrités italiennes, une affiche de la Dolce Vita et les pasta, toujours.

C’est Luigi, Gigi pour les habitués, qui tient les fourneaux en attendant que Patrizia revienne d’Italie. Mauro l’aide pour le service. Et quel service. Mauro a toujours quelque chose à dire, à raconter, à vous conseiller. L’Italie coule dans ses veines et ça se voit. Luigi, lui, est plus réservé, il se contente de faire sa bonne cuisine.

Nous y avons pour l’heure dîner trois fois et n’avons jamais été déçus. Je ne me souviens plus exactement des plats que nous avons pris mais vous pouvez commander les yeux fermés ou presque. Les raviolis à la viande sauce tomate basilic, les fiochetti au jambon de Parme, les penne panna et speck, le Tiramisu maison, le cappuccino et le limoncello, le chianti, le primitivo… Viva Italia !

La Dolce Italia

110 rue Oberkampf 75011 Paris

Tél. 01 48 06 21 48

ladolceitalia.fr

Aki, le roi des okonomiyaki

Il y a une semaine, nous étions au Japon avec Céline. Enfin presque. Ce soir là, David nous faisait découvrir un fantastique restaurant japonais rue Saint Anne, à deux pas de l’Opéra Garnier (pour les non connaisseurs, la rue Saint Anne est LA rue des VRAIS restaurants japonais à Paris). Son nom : Aki. Sa spécialité : l’Okonomiyaki.

Gnééé ? L’okonoquoi ? Bon ok, l’okonomiyaki est une sorte d’omelette japonaise, préparée à base d’oeufs et de chou, avec au choix soit du porc soit des fruits de mer et recouvert d’une sauce caramélisée. Un mélange sucré/salé que j’adore.

Préparation Okonomiyaki

Okonomiyaki

Manger des okonomiyaki chez Aki ça se mérite et il faut savoir être patient car il y a du monde. Donc on a fait la queue. Une bonne vingtaine de minutes je dirais. Nous nous sommes installés ensuite au bar, juste devant les plaques chauffantes et avons regarder la cuisinière préparer les omelettes. Du grand spectacle.

Un menu à 13,50 euros avec une soupe miso, une salade et un okonomiyaki. Correct vu qu’après avoir englouti l’omelette, tu n’as plus vraiment faim. Le tout arrosé d’une petite bière Asahi. Que demander de plus ? Euh sortir du resto et se retrouver direct à Shibuya ? Non c’est pas possible. Alors faire un karaoké avec Scarlett ? Pas possible non plus. Arf dommage.

Alors pour manger autre chose que des makis et des sushis dans un japonais, pour apprécier le mélange sucré/salé et voir ton repas se préparer sous tes yeux, cours chez Aki !!!

Aki, 11 Rue Sainte-Anne, 75001 Paris, 01 42 61 48 38 (Google Maps)

Chez Papa, la bonne cuisine du sud ouest

Vendredi soir, après la comédie musicale Spamalot, il faisait faim, d’autant que nous n’avions pas mangé depuis le midi et que là il était quand même plus de 23h. Un jour j’aurais un iPhone avec un GPS qui me permettra d’emprunter la bonne direction dans Paris. Un jour.

En attendant, nous nous sommes retrouvés sur les Grands Boulevards et un peu par hasard nous sommes tombés sur l’un des restaurants “Chez Papa” (153 rue Montmartre 75002, Métro Grands Boulevards) dont on m’avait vanté les mérites le soir d’avant. Chez Papa, ça sent bon la cuisine du sud ouest, celle des magrets de canard, des cassoulets, du foie gras … de Bordeaux à Carcassonne et de Toulouse à Espelette. Bref, une fois poussée la porte, tu n’es plus à Paris mais au bord de la Garonne.

L’accueil fût impeccable, la serveuse extrêmement gentille et le dîner idéal. Tandis que le jambon finissait de sécher au mur et que les piments d’Espelette nous regardaient d’un drôle d’oeil, nous commandions chacun un magret de canard. Celui au poivre vert était extra, avec ses petites pommes de terre, tout comme j’aime. Celui aux poireaux l’était tout autant. Le tout arrosé d’un petit Saint Nicolas de Bourgueuil (oui bon je sais rien à voir avec un vin du sud ouest) plutôt fort en bouche. Nous avons fait l’impasse sur les desserts, un peu cher à notre goût mais qui donnaient tout de même l’eau à la bouche.

Bref, une bonne adresse de plus à conserver quand on veut s’évader dans le sud ouest sans forcément prendre le train.